
Zum Schutz unserer Rebberge
Ein Gastbeitrag von Emmanuel Chassot
Die bereits 2019 begonnene Aufgabe von Weinbergen hat sich mitten in der Saison 2021 durch den Falschen Mehltau verschlimmert. Zu diesem Zeitpunkt berichteten uns die Medien, dass 300 Hektaren aufgegeben werden könnten.
Seit 2017 ist die Traubenproduktion aus verschiedenen meteorologischen und wirtschaftlichen Gründen defizitär und treibt die Traubenproduzenten zur Aufgabe.
Um, wie gesetzlich vorgesehen, das hohe Risiko der Ausbreitung von Rebkrankheiten zu begrenzen, fordern wir in einem Postulat, vor der aktuellen Saison einen Prozess zur Rodung von aufgegebenen Rebstöcken zu aktivieren.
Diese Forderung ist nach wie vor aktuell, da mehrere Weinberge heute nicht mehr bewirtschaftet werden, weil der Landwirt oder der Eigentümer es so will. Einige wurden von den verantwortlichen Bewirtschaftern oder Eigentümern gerodet, aber viele Weinberge sind immer noch verwahrlost, und laut den Spezialisten von Agroscope erhöht diese Vernachlässigung das Infektionspotential von Pilzkrankheiten der Rebe erheblich. Echter Mehltau, Falscher Mehltau, Schwarzfäule etc. haben alles, was sie sich wünschen, um ihre Ascosporenvorräte zu erweitern und so ihre Myzelien in der Nachbarschaft zu verbreiten, sobald die Bedingungen für Sie günstig sind.
Die Folge für die Anrainer, um ihre Ernte zu schützen: drastische Zunahme der Pflanzenschutzmassnahmen. Zusätzliche Belastungen für Erzeuger, die sich der Aufgabe ihrer Rebberge widersetzen und Auswirkungen auf Umwelt und Konsumenten, die unbedingt vermieden werden sollten.
Wie im Gesetz über die Landwirtschaft und die Entwicklung des ländlichen Raumes vom 8. Februar 2007, Artikel 48, und in der Verordnung über den Rebbau und den Wein vom 17. 3. 2004, Artikel 21, vorgesehen, müssen schlecht gepflegte oder vernachlässigte Reben, die ein Pflanzenschutzrisiko für andere Reben darstellen, verpachtet oder vor dem Austrieb der Vegetation gerodet werden. Aus diesem Grund fordert unser Postulat die Einführung und Aktivierung eines Prozesses zur Rodung von verwahrlosten Weinbergen gemäss den gesetzlichen Grundlagen, sowie die Information der Gemeinden darüber, um den Prozess vor dem Erntejahr 2022 zu initiieren.
Zwar ist es bedauerlich, dass das Büro des Grossen Rats die Dringlichkeit im Dezember abgelehnt hat. Die Dienststelle für Landwirtschaft hat diese jedoch anerkannt und ein Dokument mit dem Titel „Zukunft einer gerodeten Rebfläche – gute Praktiken“ (https://www.vs.ch/de/web/sca/vignoble-valaisan) ausgearbeitet.
Ich möchte der Dienststelle danken, dass sie sich des Problems bewusst geworden ist und schnell reagiert hat. Was bleibt, ist die Information zu verbreiten und die Anwendung des Gesetzes voranzutreiben, also einen Rodungsbefehl für Parzellen zu erlassen, die derzeit nicht bewirtschaftet werden.
Die grossen Strukturverbesserungsprogramme des Kantons werden nur mittel- bis langfristig Wirkung zeigen. Diese machen keinen Sinn, wenn nicht dafür gesorgt wird, dass die Traubenproduktion heute gesund und rentabel ist.
Einige Beispiel-Bilder verwahrloster Rebberge (Fotos: Emmanuel Chassot):
Emmanuel Chassot ist Grossrat der Mitte und Unternehmer (Cave la Vignolle). Er hat das Postulat 2021.12.511 eingereicht, das am 8. Juni im Grossen Rat beraten wird.
Den Wortlaut des Postulats können Sie hier nachlesen: https://parlement.vs.ch/app/de/search/document/174162
Postulat 2021.02.068: Agir pour une production de raisin viable
Ce postulat avait été déposé en urgence en février 2021, suite à plusieurs années très difficiles pour les producteurs de raisins, qui, après réception des décomptes de vendange 2020, se sont retrouvés à ne pas pouvoir couvrir leurs frais de production. Les décomptes de certains acheteurs de vendanges ne respectant pas les prix indicatifs de l’IVV. Face à ce constat, nombre d’exploitants professionnels ou accessoires ont décidé de cesser l’exploitation des vignes.
Une restructuration de la production de raisin est nécessaire pour préserver les exploitants ayant résisté et évité l’abandon de vignes et la détérioration de notre patrimoine viticole.
L’urgence avait été refusée par le bureau du Grand Conseil car une restructuration de la branche ne pouvait pas se faire en urgence, même si la nécessité était et est encore aujourd’hui avérée.
La situation viti-vinicole valaisanne est difficile depuis un certain temps, la pandémie due au COVID a fortement empiré cette situation.
Suite à l’interdiction de rassemblement et de manifestation, ainsi que la fermeture des cafés-restaurants, les ventes de vins étaient au plus bas, même si nos vins étaient parfois bradés sur les marchés afin de diminuer les stocks. Si quelques aides ont été mises en place pour les entreprises d’encavage, les producteurs de raisin se retrouvent à devoir produire à perte. En effet, justifié par des ventes de vins difficiles, nombre de kg de vendanges n’ont pas été payés au prix indicatif de l’IVV, voir nettement en dessous. De ce fait, les charges de production ne sont pas couvertes par le revenu de la vendange.
Les producteurs de raisins n’ont eu droit à aucune aide liée à la pandémie, mais se retrouvent avec des baisses notables de leur revenu. Avant l’abandon massif de surfaces, qui a déjà débuté, la détérioration de notre patrimoine viticole, le postulat demandait au Conseil d’Etat de mettre en place des mesures et d’établir une stratégie viable pour les producteurs de raisins afin de préserver notre économie viti-vinicole et de maintenir l’attractivité professionnelle pour nos jeunes.
Si le Conseil d’Etat a pris des mesures durant les deux dernières années marquées par la pandémie afin de soutenir la branche vitivinicole et le Grand Conseil a accordé un crédit supplémentaire de 14 millions de francs pour soutenir les producteurs de raisins impactés par les évènements météorologiques extraordinaires survenus en 2021. Cette aide exceptionnelle ne compensera pas le manque à gagner des vignerons puisque, selon le Service de l’agriculture, il manque plus de 100 millions pour couvrir les frais de production 2021 uniquement, alors que les pertes sont régulières depuis 2015.
Nous relevons qu’entre le dépôt de ce postulat et ce jour, quelques changements structurels et organisationnels au sein de l’Office de la viticulture ont permis une collaboration fructueuse avec la profession et l’interprofession. Dès ce moment, nous saluons le soutien direct régulier de cet Office aux professionnels sur le terrain ainsi que par l’intermédiaire des nouveaux communiqués phytosanitaires.
Les grands projets d’améliorations structurelles mis en place par le canton n’auront d’effet que sur le moyen ou long terme. Ces derniers n’ont pas sens, sans que la production de raisin soit aujourd’hui viable.
Conthey, le 01.06.22
Emmanuel Chassot, député
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